Le constructeur britannique Lotus continue dans sa volonté de moderniser son catalogue, après l’Exige, l’Elite, c’est maintenant au tour de l’Elise. Cette petite dernière est apparue pour la première fois sur les stands du britannique en 1992. A l’époque elle se voulait être en adéquation avec la philosophie de la marque « Light is Right », soit en français « ce qui est léger est bien ». Le constructeur britannique a voulu créer un modèle sportif sans surplus. La firme britannique s’est un peu éloignée de cette philosophie lors de la redéfinition de l’Elise.

Dès les premiers regards, on sent un éloignement avec les premiers exemplaires parus dans les années 90. La Lotus Elise se veut plus cossu et imposante que ses ainées. Sa silhouette se rapproche de celle de la dernière Exige et de la dernière Elise. Lotus avait pour habitude d’employer des formes plus arrondies, il opte cette-fois pour des formes plus rectangulaires donnant un aspect moderne à la silhouette de l’Elise. Une fois à l’intérieur, l’habitacle rassure. Lotus a bien installé un équipement essentiel à la conduite, dépourvu de tout superflu. Le poids de cette dernière, reste quand même léger, la balance affiche 1 095 Kg. 

 Le moteur de 4 cylindres et de 2 litres endosse une puissance de 330 chevaux. Avec une telle puissance, le test du 0 à 100 Km/h devrait s’exécuter en 4,3 secondes, de quoi rivaliser en compagnie d’une Aston DBS. 

Taillée pour la piste, le cheval cabré nous présente la Ferrari 599XX.Prix  Remplaçante de la gamme Maranello, cette dernière recoupe l’Enzo et la FXX. Bolide de grand tourisme, lorsqu’on la regarde on aperçoit une GT. Ferrari a composé l’édition XX de manière à exalter ses performances sur circuit. Volonté marquée sur les pistes du Nürburgring en battant le record, détrônant la Gumpert Apollo S, passant le tour de piste en moins de 7 minutes. La 599 bat l’Enzo, avec un gain de 27 secondes.es courbes sont à l’instar de l’enseigne italienne. Les lignes dévoilent une silhouette fine et élégante. L’aérodynamisme appose des appendices chargés d’aspirer l’air. On notera le système « ActiflowTM », composé de deux ventilateurs placés à l’arrière et participant à l’aspiration de l’air. Système presque semblable à celui de la F1 Brabham BT46 dénommée « aspirateur », créée en 1978 par Niki Lauda. Ferrari donne quelques chiffres afin de démontrer l’efficacité de l’aérodynamisme. La Ferrari 599XX possède un appui au sol de : 286 kg à 200 km/h, et de 630 kg à 300 km/h.